Car en fait le départ des hormones liées à la naissance de mon fils (en septembre 2012 donc, quand les obscurations sont aussi revenues) ont aussi eu pour effet de me rendre mon goût voire ma dépendance pour la musique.

Comme de par hasard, c'est le moment où les Porcelaine sont entrés en studio et ont commencé à communiquer sur leur futur nouvel album (les Trone d'Argent sont toujours en hibernation).
Les mois ont passé vite, le single est sorti début septembre 2013.

De ce que j'en ai entendu, j'étais très moyennement emballée. Ca me rappellait trop leur Tube pop-folk, sympa mais qui ne s'écoute pas en boucle (contrairement à l'intégralité de leurs deux premiers albums) et leur quatrième album que je n'ai même pas acheté tellement les singles ne m'ont pas inspirée (ils l'ont sorti un mois après la naissance de mon fils, j'étais en plein équilibre hormonal, pas besoin d'eux).

La première fois que je l'ai entendu en entier, ce fameux single, c'était dans une soirée chez ma copine d'enfance où la radio était allumée en fond sonore. Soudain mon sixième sens (celui qui repère le Guillaume à mille lieux à la ronde) s'est mis à vibrer et au milieu du brouhaha des voix de mes amis j'ai su que c'était le nouveau single. J'entendais quasiment rien, à part le rythme de la chanson, qui ressemblait tellement à leur Tube que j'étais déjà désespérée. Les Porcelaine parlent d'un "retour aux sources" dans leur communication. Si la source c'est leur Tube, ben ça sera sans moi. Encore un album que je n'achèterais pas, sniff.

Puis Guillauuume Cantiiillon s'est mis à poster des tonnes d'infos sur cet album. Dont une vidéo d'une session acoustique pour je ne sais plus quelle radio bobo branchée parisienne.
Et là j'ai entendu le texte.
Du couplet en fait.
Et quelque chose de magique s'est passé.

Je te préviens, c'est pas grand chose mais ça a fait battre mon petit coeur de littéraire.

Là sur mon volcan natal, je reste
Inondé de remords, sans voix
Etouffé comme une étoile en reste
Je m'époumone encore, sans toi

J'ai passé la semaine à me répéter ce petit bout de phrase "je m'époumone encore, sans toi".
QUI utilise un mot aussi beau qu'"époumone" encore aujourd'hui ??? Mais quelle idée de génie de placer ce mot dans une chanson.

Donc voilà pour un tout petit mot dans une chanson au rythme prémâché, j'ai acheté un album entier.

Evidemment l'album est décevant. On est très très très loin des deux premiers albums, je crois qu'il faut que je fasse le deuil de ce groupe-là, du groupe d'il y a dix ans maintenant.

Mais il y a 2 chansons superbes (dont une vraiment vraiment magnifique, du très grand Porcelaine), quelques passages de génie, 20 secondes par-ci, un couplet ou parfois juste une rime ou un mot par là. Alors je n'ai pas de regrets. Puis je ne connais pas mieux dans le paysage rock français actuel surtout alors je fais avec.

On guette les dates de concert avec Johm, parce qu'on ira. On suppose que même s'ils ont vielli, puisqu'ils étaient un groupe de scène avant tout, y'a des chances qu'ils le soient restés.
 

Donc en rentrant chez moi mardi soir de mon entretien bizarre à Bourgeaux, j'avais un mini-dilemne.
J'avais en effet promis à la Médiathèque de leur donner une réponse d'ici vendredi pour le remplacement de 3 semaines en novembre.

Bourgeaux ne me donnant sa réponse que dans 15 jours, j'étais dans le flou.

Alors j'ai interrogé mes tripes.

Mes tripes n'ont pas du tout aimé le climat de l'entretien. Mes tripes se sont senties jugées avec des critères obsolètes ou non adaptés. On ne peut pas recruter en catégorie C (niveau BREVET dans les textes de loi hein) et exiger un niveau d'anglais bilingue. Il y a un moment où il faut être réaliste et arrêter de se la raconter.
Mes tripes ont vraiment l'impression qu'ils cherchaient avant tout un médiateur, ce que je ne suis pas. Là-dessus je ne leur ai pas menti, je leur ai dit que je n'étais pas formée, que j'avais appris sur le tas mais que j'étais ok pour le faire. Mes tripes ont du coup l'impression que je ne corresponds pas vraiment au poste ni à leurs attentes.
Mes tripes se sentent trop vieilles pour jouer le jeu de "je vais vous lécher les fesses et tout accepter du moment que je travaillerais dans la cul car ce serait un privilège extraordinaire". Dans la cul, j'y travaille déjà bénévolement et je compte continuer à y travailler parce que je ne peux/sais pas faire autrement. Je peux faire certains sacrifices mais il ne faut pas trop m'en demander non plus. Et puis des sacrifices j'en ai déjà fait et me voilà à 30 ans bénéficiaire du RSA quoi.
Mes tripes ont largement préféré la bibliothécaire de la Médiathèque qui a passé une heure à me faire visiter les lieux, en m'expliquant sa vision du métier.
Mes tripes n'ont aussi pas envie d'arracher mon fils à son environnement dans lequel il est à l'aise et que je pense parfait actuellement pour son développement.

Soyons clairs, si Bourgeaux m'appelle dans 15 jours pour me dire qu'ils m'ont choisie, je serais très heureuse et on va y aller.
Mais je n'ai pas envie de perdre l'opportunité de la Médiathèque, je n'ai pas envie de faire des sacrifices pour eux tant que je ne suis pas sûre d'y signer un contrat.

J'ai laissé passer une journée. Mercredi soir la secrétaire de mairie de la Médiathèque m'a laissé un message pour me dire qu'ils attendaient ma réponse.
Je l'ai appellée hier matin et j'ai dit oui. Elle m'a confirmé qu'il y avait un contrat de deux ans derrière si je ne suis pas prise à Bourgeaux.
(et après ça UN BEBE ont crié mes ovaires toutes joyeuses)

Entre temps j'ai vérifié, je peux rompre un CDD si j'ai un CDI. Je n'aurais que 3 jours de préavis à faire. En calculant à la louche les délais pour Bourgeaux, il leur faudra de toute façon 15 jours pour préparer la paperasse, je dois pouvoir négocier de ne commencer qu'à la mi-novembre, après mon contrat de trois semaines. Le beurre et l'argent du beurre quoi. La lune, à nouveau.
Puis mes tripes ne le sentent pas du tout, je leur fais confiance en fait.

J'ai rendez-vous mardi matin pour la paperasse à la mairie. Je commence le 4 novembre. Je dois évidemment décaler Jérusalem car je travaille le samedi. J'attends d'avoir la réponse définitive de Bourgeaux avant de le faire pour avoir une idée précise de mes disponibilités en décembre. Je dois gérer la garde de l'Héritier à partir du 4 novembre (en fait surtout voir avec sa maîtresse s'il est prêt pour aller à l'école l'après-midi).
En attendant le 4 novembre, je vais aller bosser comme bénévole à la Médiathèque, pour rencontrer les autres bénévoles, les lecteurs, les classes, me familiariser avec les lieux.

MA VIE COMMENCE ENFIN.

Tu parles d'une petite conversation.
C'était un entretien normal, tout ce qu'il y a de plus entretien. (Sofia s'est excusée de ses conseils, elle m'a dit que ça ne s'était pas passé du tout pareil avec l'autre candidate).
Du coup je ne sais pas si c'est que c'est du tout-cuit pour l'autre ou qu'au contraire mon profil les intéressait plus donc ils m'ont un peu plus cuisinée.
 

J'ai donc eu la fameuse question "quelles sont vos qualités et vos défauts" que grâce aux conseils de Sofia je n'avais pas préparée.
Du coup j'ai raconté n'importe quoi (enfin j'ai redis en substance ce que j'avais répondu la dernière fois en 2007 au directeur de Mcdo qui m'avait embauchée ensuite, donc j'ai supposé que mes défauts n'étaient pas trop gros).
Cela dit, en en discutant avec ma mère ensuite (qui trouve que je n'ai pas de défauts, évidemment), j'ai compris comment retourner la question la prochaine fois.

C'est un poste censé être 60% documentation et seulement 40% médiation. J'ai eu 80% de questions sur mes compétences en médiation. Comme ce n'est pas ma formation, c'était super youpi (c'est aussi une des raisons pour lesquelles je ne regretterais pas ce poste si je ne l'ai pas).
Ensuite 20% de questions sur mes compétences en recherche documentaire. 0% de questions sur mes compétences en documentation proprement dite (catalogage, bases de données, etc).


Dans les trucs qui m'ont rendue fière de moi, il y a la magnifique esquive de la question "mais cela ne vous gêne pas de postuler à un poste de catégorie C avec vos diplômes". 
Sache-le je crois que la bonne réponse est "cela ne me gêne pas car le poste est intéressant en lui-même".
J'ai aussi glissé subrepticement mes notes d'adjoint (le 16 à l'oral, ça claque toujours un peu).

Dans les questions toutes pourries j'ai eu :
- N'avez-vous pas un peu perdu votre niveau d'anglais vu que votre séjour en O était il y a 5 ans ?
La question était posée par une meuf dont je suis sûre à 90% qu'elle ne parle pas anglais. J'ai trouvé ça extraordinaire. J'ai un des meilleurs niveaux d'anglais de mes camarades de promo (déjà avant d'aller en O) puis J'AI TRAVAILLE A L'ETRANGER où j'ai vécu seule pendant 8 mois. Je ne sais pas ce que je peux faire de mieux pour convaincre un futur recruteur que je parle anglais. Je veux dire qu'il me teste quoi, il verra bien par lui-même. Mais pas de question bidon qui suggère que je mens sur mon CV, merci.
(cela dit ce serait du chinois, je comprendrais qu'elle ait peur que je l'ai perdu, mais bon l'anglais, c'est un peu comme la bicyclette quoi).

- Avez-vous visité le musée de Cacalonia (à BARCELONE donc) vu que c'est près de chez vous ?

Ah oui c'est seulement à 5h de voiture de chez moi, soit le double de la distance de votre musée. Et puis la dernière fois que j'ai regardé, Mytown n'était pas et n'a jamais été en Cacalonia. C'est pas Perpignan quoi.
Evidemment dans la vraie vie j'ai été polie en disant que j'allais souvent à Barcelone et que je connaissais l'existence des fresques déposées (= ce qui intéressait le Mr). A part ça le mec est responsable des collections et est visiblement nul en histoire et en géographie du Sud de la France, c'est très encourageant.

- Oh il y a une nouvelle expo au musée d'art contemporain de Mytown, vous l'avez visitée ?

L'expo a ouvert mercredi dernier. Donc non PAS ENCORE.
Dans la vraie vie j'ai répondu que c'était prévu que j'y aille pendant les vacances avec mon fils (= la vérité) et que j'avais suivi le montage via le blog du musée.
Parce que ben non je ne me jette pas sur une expo le WE de son ouverture.

Bon au final, ça ne s'est pas mal passé mais je n'étais pas non plus aussi bien qu'à mon oral où j'ai eu 16.
Donc je ne sais pas.
Surtout qu'en fait ce n'est pas le staff du musée qui décide mais la DRH de la Ville (que je n'ai pas vue).

Enfin voilà c'était mon premier entretien de toute ma vie dans mon domaine.

Le truc très rigolo c'est que l'agent d'accueil m'a ouvert la porte avec un "oh mais je vous connais en fait, je reconnais votre visage, vous êtes amie avec Sofia sur Facebook". C'était lolilol et j'ai bien aimé.

Le poste a suffisament d'inconvénients pour que je ne sois pas trop triste si je ne l'ai pas.
Car ça voudrait dire que Johm n'a pas fait sa formation en vain, ça voudrait dire que nous n'aurons pas à changer l'Héritier d'école, ça voudrait dire que je n'aurais pas à vivre à distance de ma famille pendant deux mois, ça voudrait dire que je n'aurais pas à passer 80% de mon temps à faire des visites (ça ne me gêne pas en soi, je supporterais, mais ce n'est pas ce que je préfère).
Puis l'après-midi que j'ai passé lundi à la bibliothèque où je suis sûrement embauchée était un rêve éveillé (en gros j'ai passé 2h à discuter pronostics de prix Goncourts avec des petites mamies), ça joue aussi beaucoup. 

"SURTOUT tu n'achètes pas de tailleur et ce n'est pas la peine d'aller chez le coiffeur. On a déjà eu une candidate qui nous a sorti l'artillerie lourde, la conservatrice a détesté car elle avait l'impression qu'elle lui disait qu'elle voulait prendre sa place. Puis bon ça ne s'est pas bien passé avec la personne qui était là avant, alors on ne veut pas reproduire la même erreur (ladite collègue était très snob et les considérait tous comme de la merde).

En fait ne te prépares pas pour un gros entretien embauche, c'est une petite conversation. De toute façon sois toi-même, souriante, posée et tout se passera très bien."

On était quatre candidates mais une s'est déjà défilée. Y'en a une que la conservatrice n'aime pas.
J'espère ne pas être l'éternelle numéro 2.

PENSEZ EPAIS.

Après un été où tout s'est passé à merveille pour notre expérience Airbnb, on vient de prendre la décision de fermer la chambre pour l'hiver (peut-être pour plusieurs hivers si nous déménageons car nous n'aurons jamais les moyens de nous payer un T4 sur Bourgeaux avec un seul salaire). Faut dire qu'on a accumulé deux mauvaises expériences coup sur coup.

Les premiers, les ossiliens. Notre première mauvaise expérience. OF COURSE j'ai envie de dire.
Après donc nous avoir vendu du rêve pour la soirée, ils nous ont laissé un commentaire merdique. TY-PI-CAL.

"La chambre ne conviendra pas à tout le monde. Elle est petite et il n'y a rien à visiter aux alentours. Toutefois c'est un bon rapport qualité-prix et la chambre était propre".

Le rfait que tu as passé ta soirée à bouffer et à boire du vin sur ma terrasse avec des gens (nous) parlant bien ta langue, ça, ça n'a pas d'importance. On est à la campagne, tu payes 25€ mais tu vas te plaindre d'avoir une petite chambre. SALETE D'OSSILIEN QUI COMPREND RIEN A LA VIE, RETOURNE DANS TON PAYS.

Et puis alors le pompom la semaine dernière.
Mardi matin je reçois une demande pour le soir même.
Je venais de recevoir un couple d'anglais (adorables) (enfin ils m'ont pas encore laissé de commentaire si ça se trouve je vais les détester dans deux jours) donc la maison était propre. Donc hop j'accepte et je change les draps.
Fait notable c'était un couple de Tel Aviv avec un bébé. Sur leur photo ils n'avaient pas l'air super typés mais en vrai oui (la dame c'était un peu Eli Kakou avec du rouge à lèvres). Je fais donc fi de mes clichés sur les israëliens (entre ma copine palestinienne, ma copine Medissia pour qui ils représentent les pires clients que tu peux recevoir dans un hôtel car ils font toujours des histoires et rien n'est jamais assez bien pour eux, et du mec de Medissia qui a détesté son séjour à Tel Aviv).

Déjà ils ne sont pas à l'heure. Bon ça arrive.
Je leur envoie un texto au bout d'une demie-heure.
Une demie-heure plus tard (soit avec une heure de retard sur leur horaire d'arrivée), ils m'appellent pour me dire qu'ils sont dans un autre département. Ils en ont pour une heure de route, je leur conseille de manger sur la route.
Non non c''est bon.
Arrivés dans notre ville, ils me rappellent pour me dire qu'ils ne trouvent pas la maison.
Je sors donc de chez moi en pleine nuit pour aller les récupérer sur le parking d'un hôtel voisin.
Je les ramène chez moi, leur fille est en pleurs (24 mois, a passé 3h dans la voiture sans rien manger), on leur montre la chambre et le reste de la maison, le mec nous dit que ça va très bien, et on leur indique le resto le plus proche.

Vers 23h, on les entend rentrer, on entend le bébé qui pleurote en se mettant au lit (dans NOTRE lit parapluie monté tout exprès pour eux) puis on entend plus rien. Mais genre RIEN DU TOUT.

A 23h30, je reçois un texto de Mme Kakou.
"Désolée la chambre ne nous convient pas, nous avons trouvé une souris. Nous sommes partis à l'hôtel. Tu n'es pas obligée de nous rembourser. Encore désolée."

ILS SE SONT BARRES DE CHEZ MOI SANS MEME VENIR ME LE DIRE EN FACE. AH BEN BRAVO.
J'étais furax et choquée.
J'ai lancé tout de suite la procédure d'annulation-remboursement (non mais ça va je vais pas accepter 25€ de gens qui trouvent que ma maison n'est pas assez bien pour eux) (si on rouvre la chambre, on mettra clairement dans le réglement que si l'annulation a lieu dans la journée, ils ne seront pas remboursés intégralement).
Je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit tellement j'étais choquée. Comme j'avais mon entretien pour la Bibliothèque le lendemain, ça tombait bien tiens.

Alors soyons clairs.
Nous avons eu des souris l'hiver dernier, nous avions mis des pièges qui se sont révélés efficaces (même si il y a une souris qui finit toujours par revenir)(en même temps on habite dans une ferme). Là on en avait pas encore vues mais il est possible voire probable que cette dame ait effectivement vu passer une souris dans sa chambre et j'en suis sincèrement désolée pour elle.
Cela dit nous ne sommes pas un établissement professionnel, nous proposons une chambre pas chère "pour dépanner". DANS UNE FERME A LA CAMPAGNE. Toutes les personnes que je connais dans le coin ont des souris, mettent des pièges et vivent très bien avec.

Enfin bon du coup on a fermé la chambre. On s'est dit qu'on attendrait le printemps, quand les souris ne viennent plus dans la maison, pour éventuellement la rouvrir (ça ne sert à rien qu'on se paye un dératisage).
On va aussi écrire en majuscules dans le titre que c'est une chambre BUDGET pour essayer d'éviter que des non-européens (car au final les seuls voyageurs avec qui nous avons eu des problèmes, ce sont ceux des autres continents) croient qu'ils viennent dormir dans un 3 étoiles. En même temps l'annonce possède des photos qui sont assez clairs (quand tu vois ma salle de bains, tu as compris que tu ne vas pas à l'hôtel !!!).
Et je refuserais toute réservation de la veille pour le lendemain parce que c'est vraiment trop de boulot pour ce que c'est.
Je laisse encore une fois leur chance aux israëliens pour venir démentir les clichés dont sont victimes leur peuple.

Ca m'a aussi BEAUCOUP refroidi sur une éventuelle visite de Tel Aviv, je crois que je vais aller passer la nuit à l'aéroport (vous n'imaginez pas le nombre de fois où j'ai lu que les autochtones étaient "très malpolis et désagréables" (ce qui est  choquant pour un hôtelier ou d'un restaurateur) dans cette ville en essayant d'y réserver une chambre).
J'en ai d'ailleurs parlé avec Medissia qui m'a dit que dans le 4 étoiles où elle travaillait, ses clients israëliens trouvaient toujours une souris, un cafard ou des moississures dans leur chambre... TY-PI-CAL.

Enfin bon de toute façon en ce moment je n'ai plus trop le temps de m'occuper de la chambre, nous reverrons tout ça calmement le printemps revenu (en espérant que Mme Kakou ne va pas avoir l'audace de me laisser un commentaire merdique alors qu'elle n'a passé que 10 minutes chez moi).
Dans l'ensemble c'était quand même une super expérience, très agréable. Tant qu'on reste entre européens ;)